 Sujet: Selva [fini] ![Selva [fini] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Lun 28 Fév - 14:28 | |
|
- Histoire
"Si chaque homme chaque jour jetait une fleur sur le chemin de son prochain, les routes de la terre seraient tellement plus agréables !"
Une mort sans importance. La mienne.
Ça va bientôt faire un an.
Un an que je suis mort.
C'est vrai que ça peut paraitre étrange qu'un mort raconte son histoire. Mais le monde est loin d'être comme ce que la plupart des gens pensent -pour peu que tout le monde pense réellement-. La vérité, c'est qu'on reste un moment sur terre, attaché à ce qu'on aime. Et moi, c'est elle que j'aime. Magdalena, l'amour de ma vie. Elle ne s'est pas encore tout à fait remise de ma tragique disparition, en haute mer. Mais je la soutiens comme je peux, et passe mes journées près d'elle. Elle est forte, et n'a pas perdu confiance en l'humanité, malgré ce qui nous est arrivé.
Magdalena est botaniste. Tout comme je l’étais. Nous étions la plus fine des équipes de recherche. C'est pour ça qu'on nous a envoyez en Amazonie, pour trouver les quelques plantes nécessaires à nos recherches. Nous n'étions pas loin des côtes, quand un groupe de mercenaires, armés jusqu'aux dents, est arrivé. Voyant que nous n'étions que des scientifiques, sans aucuns trésors à bords, si ce n'est des plantes d'une rareté extrême, ils ont pris la décision de ne pas être montés pour rien. Si j'ai bien compris ce dont ils parlaient, ils voulaient violer Magdalena. Mon sang n'a fait qu'un tour. J'ai pris une fusée de détresse, et en ai lancé une au visage d'un des ravisseurs. Il fut brûlé sur la moitié du visage. Le temps de charger une autre cartouche et de le pointer au visage d'un autre ravisseur, quelqu'un me levait le bras vers le ciel. Le coup est parti tout seul, et je ne pouvais plus rien faire. Celui qui semblait être leur chef murmura quelque chose. Visiblement, la fusée dans le ciel avait
alerté les garde-côtes. Nous étions saufs. Ou plutôt, nous le croyions. Ils n’ont juste eu le temps que de me prendre, et de me jeter par-dessus bords.
C'est comme ça que je suis mort.
Mais ce n'est qu'un histoire à peu près banale.
L'histoire que je veux raconter, c'est celle de Magdalena. C'est la seule qui ai de l'importance.
Magdalena a poursuivi ses études. Sans moi. Elle pleurait presque chaque soir, et j'oubliais elle et sa mémoire chaque jour au travail. Elle avait grandement fait avancer notre étude. Moi, j'étais attaché à elle. Je la suivais chaque jour durant au milieu de la vaste jungle. Pas âmes qui vivent. Sauf ces magnifiques plantes. Magda leurs parlait, croyant pouvoir toucher mon cœur au travers des pétales et de leurs vibration selon les mots qu'elle employait. Alors je l’attendais, patiemment. Un jour, forcément, elle mourra, et ce jour-là, je serais toujours
à ses côtés. Ce jour-là, nous serons à nouveau ensemble. Dus-sais-je attendre l'éternité.
De temps à autres, je pouvais discuter avec des autochtones qui me disaient de me méfier du vide. De me méfier des Hollows. Mais ils sont plutôt rare dans le coin. Et apparemment, quelqu'un les combats. Je n'ai qu'à attendre auprès de ma chère et tendre.
"Je ne puis regarder une feuille d'arbre sans être écrasé par l'univers." V. Hugo
Le tournant de ma vie. Et de la sienne.
Ce matin était pluvieux. Comme beaucoup de matin dans une forêt tropicale. Le sol était gorgé d'eau. L'eau n'arrivant plus à infiltrer la terre, ruisselait lentement vers le plus grand fleuve du monde, me donnant cette sensation que nous n'étions rien. Les éléments cherchent à se rencontrer. Au final, s'ils n'y arrivent pas, ils rejoignent les autres éléments. C'est peut-être ça le secret de la vie. Et Magdalena et moi étions les deux seuls éléments dans notre petit monde. Avec peut être ces plantes que nous étudions jours après jours. Les hommes sont si stupides pour ne pas penser à ces merveilles, qui s'ouvrent et s'offrent à nous, sans qu'ils cherchent à les avoir pour eux. Monstres d'égoïsmes.
Je me rends compte petit à petit que je suis de plus en plus amer. Seule la vision du doux visage de Magda me transporte. Seul la vision de l'arbre centenaire me rappel à l'ordre. Nous ne sommes rien. Nous ne vivons que pour un autre nous. Et nous ne mourrons que pour cette raison. Moi, ma raison, c'est elle. Si seulement elle savait que je suis attaché à elle depuis près d'un an. Peut-être qu'elle s'en doute, mais la logique d'une scientifique est imperméable au monde de l'invisible.
Elle fait sa toilette. Qu'elle est belle. L'humidité fait tomber ses cheveux négligemment sur ses épaules dénudées. Elle se retourne vers moi. Je peux voir ses belles lèvres, et son regard.... Son regard... Son regard ?!
Elle semble effrayée en me voyant ?!
Peut-elle me voir ?!
Je lui souris. Elle aura peut-être moins peur.
Ça ne marche pas.
Elle ne me voit pas. J'étais tellement absorbée par elle que je n'avais pas entendu le chant funeste de la tronçonneuse en action. Derrière moi, à peut-être 50/150 mètres. Elle court vers le bruit. Je la suis. 150 mètres plus loin, une vision d'horreur pour un amoureux de la nature, mais un drame pour un scientifique. Une clairière gigantesque avait été faite en une nuit, pour les besoins humains. Magdalena, toujours aussi forte et sûre d'elle, va voir le contremaître. Une bataille d'attestations, de droits en tout genre éclate. Ironie de la situation, tous sur du papier, sans doute provenant des arbres décimés ici même.
*Ecoutez ma p'tite dame... Moi j'ai du travail à faire. On à droit à cette parcelle, veuillez sortir du périmètre.
*Non mais dites donc ! Je suis en pleines recherches scientifique ici-même. C'est vous qui partirez, avant de foutre un an de travaille en l'air.
*M'dame. C'est pas une région pour les femmes dans vôt' genre ici. Il peut y avoir des sauvages.....
*Parlons-en ! L'homme de Neandertal que vous êtes parles d'humain comme s'il n'agissais de chien d'appartements. Ces terres appartiennent à "ses sauvages", et votre patron ne peut en aucun cas l'achetez.
*Bon, j'ai été courtois avec vous parce que vous êtes une dame. Mais le fait est que c'est moi qui ai le titre de propriété en main...
*Et si je vous le prenais des mains... Ou même mieux, si j'en faisais une photocopie ?! Votre bout de papier n'a aucune valeur, pas plus que si je l'avais dans les mains.
*BON LES GARS !!! VIREZ MOI CETTE BONNE FEMME DU CHANTIER, ON REPR.....
Il n'a même pas eu le temps de finir sa phrase. Il a été tué sur le coup. C'était un coup des indiens, à en croire la petite fléchette plantée dans sa nuque. Il n'a eu que ce qu'il méritait cet arriviste. Mais il faut croire que les ouvriers de ce chantier était habitué à ce genre de situation, puisque chacun d'être eux sortaient un fusil, un révolver ou autre arme à feu de leurs étuis. Les coups de feu commençaient à retentir à présent, et la réaction ne se fit pas attendre de la part des indiens. Flèches, fléchettes empoisonnées, se mirent à siffler. Le combat était clairement désavantageux pour les indiens, s'ils n'avaient pas eu connaissance du terrain. Les hommes s'entretuaient encore une fois. Qu'ils sont stupides. Moi, je pouvais observer le spectacle dégradant de mes "congénères", ne craignant rien de leurs part....
Mais maintenant que j'y pense... Ma chaine est... Brisée ?!
"La peste ! La peste soit dans vos deux maisons !!!" W. Shakespeare
Quand la chaine de la vie se brise.
>Musique<
Ma chaine est brisée.
Je regarde par terre.
Ma Magdalena est sur le sol, ensanglanté. Une balle perdue est visiblement passé près du cœur. Mais dans ce coin perdu du globe, au milieu d'une bataille irréelle entre argent et droit du sol, personne ne la soignera. D'ailleurs, personne ne fait attention à elle. Et une assistance médicale arrivera trop tard. Une question me venait à l'esprit. J'avais passé un an de ma mort auprès d'elle, attendant patiemment sa fin, que j'imaginais délicate, parfaite mort pour elle. Mais en la voyant gisant sur un sol tatoué d'un sang improbable.
Mon sang bouillonne.
J'enrage.
Je les déteste.
Non, ce n'est pas le mot.
Je les hais.
Je ne sais plus comment retenir les larmes de haines qui envahissent mes yeux 'âme errante. Je ne sais même plus comment retenir ce cri de détresse qui me prend la gorge, provenant du fond de mon être. Tout en moi s'agite. Mon cœur palpite dans ma poitrine taché de sang. Mes poings se ferment machinalement, et mes muscles se bandent jusqu'à devenir douloureux. Ma tête lancée en arrière, mon regard troublé par les larmes, levé vers le ciel, je ne peux plus retenir ce cris qui pourrait déchirer le ciel.
*RHÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂ*
Une épaisse couverture blanche commence à couvrir mon corps. C'est douloureux. Mais pire, le ciel ne s'est pas déchiré, le toit du monde ne s'est pas écroulé sur la tête de ces déchets du monde. De la nourriture pour les fleurs. Voilà ce qu'ils sont. Rien de plus, rien de moins. Qu'ils meurent. La terre ne s'en portera pas plus mal. Ma main droite est brulante. Mon sang doit bouillir sous cette couche blanchâtre. Personne n'a le droit de faire couler le sang de mon âme sœur, le pilier qui me retenait sur terre. Personne. Et surtout pas dans cette clairière. Surtout pas au milieu de l'empreinte de la folie humaine. Je... Je...
*RHÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂÂ*
Je ne sais pas ce qu'il m'arrive.
Je perds le contrôle.
Je suis en transe.
Je bouge à coups de pieds les cadavres juchant le sol, je piétine les blessés. Ils n'ont pas droit à la vie. Ils ne devraient même pas avoir droit à la mort. Les nouvelles âmes errantes, même hébètes, continuent leurs bataille, comme si de rien n'était. Ils cherchent à prendre leurs armes de leurs doigts immatérielles. Ils ne remarquent même pas ma présence. Sombres imbéciles. Je prends une âme, je la roue de coups. Je peux voir la folie de mon regard à travers des yeux de l'imbécile que je tiens. J'arrive même à le reconnaitre. C'est le contremaître. Je n'hésite pas, et le mort à la jugulaire. Ce n'est pas tellement plaisant pour moi.
Il m'en faut d'autre. Pas tellement parce que c'est bon.
Absorber ces âmes humaines, c'est un peu comme les bonbons acidulés de mon enfance. Ça pique sur la langue, ce n’est pas agréable... Mais une fois qu'on l'avale. C'est.... Indescriptible.
Mais de toute façon, il m'en faut d'autre.
Les humains ne méritent pas d'être ici. Pas au milieu de la forêt. Retournez à vos mégalopoles car là seul vous pourrez vous rendre compte du pouvoir de la nature.
Je râle encore une fois. Cette fois, ma transformation est complète, ma rage est à son apogée. Si, dans la seconde, Magdalena se relevait pour me stopper, je ne sais pas ce que je lui ferais. Et je m'en voudrais toute ma vie... Ou plutôt, toute ma mort. Alors j'attrape et dévore un maximum d'âme. Histoire de me repaitre de ma haine. Que je puisse à nouveau rire. Si j'arrive à rire à nouveau.
Dernier sifflement de flèche.
Dernier coup de feu.
J'avais même fini par attaquer les vivants, puis à dévorer leurs âmes. Ils avaient attaqué mon petit monde, détruit ma raison de vivre. Détruit ma passion. M'avait même détruit. Les humains sont des êtres stupides. Ce n'était que le juste retour des choses que de les dévorer. J'attrape le dernier survivant, et le lève vers le ciel, Pour qu'Il le voie. Pour que notre seul juge le juge, avant que je lui arrache la tête. Amenant ma main gauche au-dessus de ma main droite qui lui tenait le coup, je commence à serrer tout doucement. Puis mon bras gauche se lève bien plus haut que ma main droite, déchirant la peau de son cou et faisant jaillir le sang à la manière d'une fontaine sous haute pression.
Enfin.
Je suis repu.
>Musique<
Il n'y a plus de son dans cette clairière.
Juste un souffle court et difficile.
Magdalena était couchée juste derrière moi.
Je ne sais pas ce qui me prend. Je m'enfuis.
Je crois qu'à ce moment, j'avais compris que je n'étais qu'un homme. Non, pas un homme. Un monstre. Même si techniquement, il n'y a aucune différence pour moi. Mais qu'en est-il pour elle ?! Est-ce que seulement elle me reconnaîtrait ?! Peu importe. Je ne veux pas qu'elle me voit comme un monstre. J'attendrais à nouveau l'éternité pour que nous soyons ensemble, heureux.
Après cette journée, les autres journées semblaient bien mornes. Je m’étais fait un devoir depuis d'éliminer tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un humain. Ma compréhension de ce monde des morts se faisait de plus en plus précise. Je suis devenu un Hollow. Les Hollows sont issus d'humains. Donc je les hais. Je hais également ces Shinigamis, ces humains qui se prennent pour des êtres supérieurs, me pourchassant inlassablement. De toute façon, ils viennent aussi des humains. Ils sont donc aussi lâche, aussi barbares que les aïeux. Les seuls êtres qui méritent mon attention, ce sont les plantes.
Et Magdalena.
Ma chère et tendre Magda.
Je vendrai mon âme, l'estime de moi-même dollar après dollar, pour une chance
Un baiser
Une bouchée de toi
Ma Magdalena.
- Caractère
Selva est un être aigri.
Il déteste tout le monde, tout autant qu'il se déteste. Mais finalement, il veut devenir fort, non pas pour éradiquer la race humaine, qu'il considère comme la racine du mal, mais plutôt pour retrouver sa chère et tendre Magdalena, et qu'elle l'accepte. Selva est au bord de la folie. La seule chose qui le tienne encore à peu près sain d'esprit, c'est cette image de retrouvailles heureux et chaleureux.
Au combat, il a la froideur du scientifique qu'il était. d'ailleurs, il se débrouille toujours pour bouger un minimum son corps. Peut-être a t'il peur de sa propre folie s'il se laissait aller. Pourtant, dès que qu'il aperçoit quelque chose qui lui rappel Magdalena, il est perdu, et ne sais plus s'il doit combattre ou pas. Mais en temps normal, il s'occupe du combat comme de son travail. L'achever, c'est son but.
Dans la vie de tous les jours, il est plutôt discret, et s'occupe de son jardin secret, au sens propre comme au sens figuré. Mais il ne faut surtout pas avoir un côté humain à ses côté. Sous peine de voir sa folie
au grand jour. D'ailleurs, il se ferait déjà une joie de vous tuer, puisque vous n'êtes pas une plante.
Et si un jour, vous avez la volonté de parler de Magdalena devant lui, prenez garde. Pour Selva, Magdalena n'a rien d'humain. C'est une déesse, et prononcer son prénom est blasphème. Vous êtes prévenus.
Il a également cette manie de faire pousser une fleur pour chaque personne, âmes ou humains, détruits. Mais ce qu'il faut retenir de son caractère, c'est que c'est quelqu'un de secret, et surtout de mystérieux. Et quand
ces deux éléments se rencontrent, ça fait surtout des rumeurs. Un des rumeurs sans doute les moins fondés, c'est que la forêt des menos était le jardin de Selva, qu'il aurait tout planté et arrosé. La rumeur la plus
persistante, c'est qu'au milieu du sable froid de Las noches, pousse de l'herbe, à chaque fois que le sable rencontre les pieds de Selva. Mais cette herbe meurt rapidement, au vue des matières nutritive du sol.
- Physique
Sous sa forme humaine, Selva est un homme brun, avec de petits yeux fins qui accentue le fait qu'il ne vous regarde pas parce que vous n'existez déjà plus pour lui.
Il était relié à son amour par le cœur. Mais maintenant qu'il s'est transformé, la chaine a disparue, ne laissant apparaitre qu'on trou à la place. Ce trou est généralement comblée par un bandage quelconque -une compresse, un bandage,...- ce qui fait qu'on ne remarque pas tout de suite ce côté de sa personnalité.
Grand, peu corpulent, le sabre qui retient sa véritable forme semble immense à côté de lui. La garde de ce sabre est par ailleurs, faite en liane. Liane tressée séché, qui remonte légèrement sur la base de la lame.
Sous sa forme resureccion, Selva apparait avec un côté noir, et un côté blanc, marquant un peu plus la dualité entre le bon et la brute. De plus, pendant qu'il n'était qu'Hollow, Selva était une plante. Un reste de son
hollowification apparait sur ses épaules, montant jusqu'à la tête, rappelant des feuilles de plantes carnivores. Mais le fait est qu'on ne le voit que très rarement sous cette forme.
De plus, ses cheveux bruns, ses yeux noisette, prennent également une autre coloration. Selva explique ce fait de manière logique. Certaines fleurs, mais c'est encore plus flagrant chez les fruits, change de couleur
quand ils arrivent à maturation. Alors qu'y a-t-il de surprenant à se retrouver avec des cheveux vert et des yeux jaunes.
image
- Abono : Selva peut faire pousser des ronces dont les épines sont empoisonnées. Il utilise généralement cette technique pour éviter la fuite de ses opposants.
- El tronco : Selva fait pousser un arbre tout autour de lui. L'écorce de cet arbre résiste à des conditions extrêmes et la couche de liège se régénère afin de le protéger de toutes attaques.
- Hipersensibilidades : Selva fait pousser des fleurs dont les spores parasites le système nerveux de l'opposant. Ce dernier souffre alors d'hypersensibilité des 5 sens. Toute lumière l'aveugle, un son le paralyse, la douleur se fait plus insoutenable,...
- Raíz del dolor : Selva fait grandir des racines sous le sol, remontant aux pieds de son opposant. Ces dernières s'infiltrent sous la peau, paralyse, et absorbe le reitsu de l'adversaire.
- Regar : sous sa véritable forme, Selva peut faire pousser n'importe quelle plante, le corps de Selva faisant office d'abris pour les germes et pollen. Il s'agit là du -finalement- seul "vrai" pouvoir de Selva, avec la croissance accélérée des plantes.
- Spoiler:
Il a lu. Validé par Mélodine.[/strike]
Dernière édition par Selva le Mer 2 Mar - 18:42, édité 1 fois |
| |
Accueil 
![Selva [fini] Left_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/left_bar_bleue.jpg){kind=small}
![Selva [fini] Empty_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/empty_bar_bleue.jpg){kind=small}
![Selva [fini] _](https://2img.net/i/_.gif)
