Nom : Mon nom est
Ichbal Sôdeka, retenez le bien (
humain de son état)
Physique : Ichbal est un homme de grande taille, 1m90 environ. Il est accroc à l'activité physique en tous genre mais se consacre essentiellement aux sports de contact tel que le kickboxing /taekwondo... Toujours prêt à se dépenser, à combattre il possède des réflexes hors normes et une impulsion digne d'un guerrier samouraï de l'ancien temps. Il possède des bras hyper-développé pour manier à la perfection son arme de prédilection : le fléau d'arme. Pendant un de ses combats contre le maître d'arme de son école il fut gravement touché au niveau de l'arcade sourcilière; pour le soigner le seul moyen fut de lui ôter le globe oculaire gauche. Depuis se funeste jour il porte un bandeau confectionné en cuir de maître d'arme tanné (tout de même qu’on n’aille pas se foutre de sa tronche).
Caractère : Ichbal est un être totalement bipolaire. En effet sur-le-champ de bataille ne lui demande pas de ressentir des choses... Il ne fera que vous répondre "-Senti.... quoi?". Dans des moments comme ça il ne connait ni pitié, ni compassion, ni peur seul le flot constant d'adrénaline parcourant ses veines et ses muscles lui dicte sa volonté...
Paradoxalement lorsque toute forme de vie hostile a été annihilé un être humain "normal" ressurgi. Ne cherche pas non plus quelqu'un de sérieux, souvent il essaye de prendre un air sombre mais n'écoute pas vraiment ce qu'on lui dit. Mais voilà dans ce type de situation c'est un mec blagueur, bon ami toujours prêt à s'éclater dans le bar du coin... Dans ses moments-là il a aussi un gout plus que prononcé pour toutes les boissons à caractère liquoreux...
Histoire du personnage : Pour mieux connaitre Sôdeka il faut d'abord s'intéresser à ses géniteurs. Son père était un professeur d'aïkido dans la région d'Okaydo, il vivait à l'écart de toute trace de grandes agglomérations. Il dispensait ses cours à de jeunes élevés venu perfectionner leur maitrise dans cet art. Un jour il vint dans la mégalopole pour un congrès sur la légalisation du port du sabre dans les lieux public. Dans la ville grise de pollution, noir de monde il ne voyait là que la décadence du monde dans lequel il vivait. Cette fourmilière humaine s'étendait à perte de vue il fut pris soudain de vertige et s'écroula. Quand il se réveilla il se crut au paradis... en effet un ange était là et le tenait dans ses bras... En fait c'était une petite serveuse dans un bar à proximité qui, l'ayant vu tombé s'était jeté à son secours. Ayant repris ses esprits le brave maître proposât à la jeune demoiselle de le rejoindre dans sa vie... Le plus étonnant c'est qu'elle accepta et ils vécurent heureux pour toujours (non ce n’est pas la fin il manque une grosse partie quand même) et un jour ce qui devait arriver arriva, par une chaude nuit de printemps naquit Ichbal Sôdeka.
Avant la troisième floraisons de cerisiers il vécut la majorité de son temps dans les bras de sa mère qui ne travaillait plus et passait tout son temps avec son fils unique. La petite famille vivait dans une maison du style Shogun, aux murs de bois et de papier. Au centre se trouvait un atrium où l'on avait mis un jardin zen traditionnel avec une étendu de sable et des pierres disposées ici et là toujours dans la plus grande harmonie Feng-Shui que sa mère s'évertuait à imposer à l'espace où ils résidaient et que le jeune garçonnet s'amusait à mettre en pagaille. Il y avait un grand jardin que le père cultivait pendant son temps libre, ils tiraient leurs revenus de la vente des légumes frais au marché ce qui leurs permettaient de vivre avec le minium nécessaire à une vie heureuse et simple.
C'est à partir de ses 4 ans que son père commença à lui apprendre les rudiments du combat au sabre, malgré son âge le maître ne retenait pas ses coups et c'est dans la douleur et les coups successifs de son entrainement que le jeune homme se forgea son caractère de combattant. Étrangement sa mère n'opposa aucune résistance face au fait qu'il reçoive tant de coup de la part de son propre père. Son père n'allant pas en rajeunissant commençait à souffrir d'une étrange maladie que la médecine moderne traité d'incurable. Alors qu'on le croyait perdu son fils, âgé de 8 ans, traîna son corps presque sans vie jusqu'à une baraque délabré qui se trouvait non loin de son logis où vivait une vieille maitresse qui aurait, disait-on, d'étranges pouvoirs (l'histoire prouvera par la suite qu'elle était une bount). Elle parvint à sauver son père, mais quelque mois plus tard il périt en tombant dans un fleuve alors qu'il péchait.
La perte de son père fut un tel choc pour l'enfant qu'il en perdit sa raison il commença à ravager tout ce qui passait sous ses yeux. Sa mère ne sachant plus quoi faire décida de l'envoyer dans un pensionnat spécial : "l'internat des 5 piques" au pied du mont Fuji. Cette école a été déchue et abandonné par le conseil éducatif par ses méthodes dites trop radicales (la torture est-elle si horrible que ça?). Pendant les 10 ans de son pensionnat il a appris au professeur le respect qu'il lui devait, il organisa bizutages et petites séances d'un jeu qu'il nommait "Combat royal" (dont je me garde de donner les règles). Son séjour dans cette école fut aussi pour lui une source presque infinie de combat d'où il a put s'entrainer contre les plus forts et par la suite s'imposer par sa puissance et son tempérament bestial.
Techniques : Durant son apprentissage Sôdeka à appris à utiliser le feu, de cette maitrise il a pu mettre au point deux techniques. En premier lieu il est capable de permuter son fléau d'arme en une masse immatérielle rassemblant à une longue
langue de feu brûlant, lacérant et tranchant toutes surface en contact avec son arme. Il arrive aussi à focaliser son esprit sur son corps et à le recouvrir d'une couche de flamme invisible à distance mais prenant la forme d'un épais
manteau de flamme à l'approche de tout corps étranger ennemi. Pouvant provoquer des brûlures plus ou moins sévères suivant le degré de maitrise de la technique.