Spoiler:

Maintenant que j'en arrive à la fin de ce cycle de vie... Il faut que je vous dises la vérité. La vérité nue. Et cette vérité, c'est que mon histoire au Gotei 13 n'a pas été qu'un condensé de combat, de défaites, de victoires. De temps à autres, je passais du bon temps. Un temps qui me manque, même si je 'ai pas su m'en rendre compte immédiatement. E fait, ce fut quasi immédiat, depuis mon arrivé à l'académie.

Je m'en rappelle encore comme si c'était hier.
J'avais réussi à passer mon examen d'entrée, comme la plupart des candidats présents. Puis on nous a montrés nos logements. Je n'avais jamais vécue ça avant, mais à dater de ce jour, et pendant toute ma scolarité, je devais partager ma chambre avec d'autres personnes. J'allais devoir m'y habituer... Si papa et maman m'avaient donné un titre de noblesse à ma naissance, je l'avais perdue à ma mort.

Parmi mes collocatrices, il y avais Azami. Azami était une fille avec de long cheveux blancs, et une silhouette qui ne laissaient visiblement pas les garçons indifférents. Mais c'était également quelqu'un d'énergique, toujours à sautiller partout ou à râler sur tout et n'importe quoi.
En gros, c'était mon opposée à moi. Mais malgré ça, le courant est de suite passé... Ou en tout cas, assez rapidement... D'ailleurs, notre rencontre c'est passé au moment où on m'a montré la chambre. On m'a dit de m'y reposer, que les cours ne commenceront que dans deux jours. Que ça me permettrait de découvrir le coin, et de faire connaissance avec de nouvelles personnes. Puis on m'a laissé sur le pallier de la porte. J'ouvrais, après une profonde respiration, la porte coulissante. Elle m'apparue, là, assise, dans ses pensées.


Azami (se retournant vers moi) : Alors, c'est toi la nouvelle ?! Moi c'est Azami. Mais tu peux m'appeler Azami...

Moi (baissant la tête pour la saluer) : Enchanté, moi c'est ....

A. (commençant à hausser la voix) : Si tu ne veux pas que je te démolisses de suite, il faut que tu piges 2/3 règles sur la collocation. Sans règles, il ne sera pas possible de s'entendre. Vivre avec la même personne pendant toute la journée n'est pas évident, aussi...

M. (acquiesçant) : Oui, je suis d'acc.....

A. (haussant encore plus la voix) : Règle 1 : Tu ne me coupes jamais la parole. Je suis plus ancienne que toi, tu me dois le respect.
Elle reprend sa voix d'avant :
Règle 2 : Le ménage se fait à tour de rôle. Tu n'y couperas pas. Sachant que je suis ton supérieur, tu feras mon tour une fois sur deux.
Règle 3 : Tu ne touches pas aux cibles de tes autres collocatrices, et encore moins quand il s'agit de garçons.
Règle 4 : tu noteras toutes les règles pour ne pas en oublier.
Règle 6 : Si tu n'obéis pas à une des règles, tu auras ta punition en conséquence...
Règle 7 : ...

M. : Tu n'as pas dis la règle 5 ...

A. (criant et me frappant sur la tête)[/i] : Règle 1 ?! Et la règle 1 tu l'as déjà oublié ?! Ne me coupes pas la parole. La frappe, c'est pour la règle 6 !!! Nanmého...
reprenant en comptant sur ses doigts : heu donc... La règle 5 viens en dernier... Si tu avais tout suivie... mmmh... Heu...
RÈGLE 7 : ton autre collocatrice, Shizu, est de troisième année, comme moi... Ces règles s'appliquent aussi avec elle. Y compris la règle 2.
Règle 8 : Tu nous feras le thé, et nous ont te fileras des conseils...
Règle 9 :....

Hey. T'es en train de bailler là ?!
Tu crois que je ne te vois pas ?!

M.(s'arrêtant de bailler) : J'espère que tu ne comptes pas me faire faire tes corvées et me prendre comme bonne à tout faire, parce que ça ne marchera pas... Je ne veux pas te paraitre impolie, aussi, j'obéirais aux règles que tu as fixé qui me semblent essentielles. Tu es plus ancienne que moi, donc je te montre du respect. On ne pique évidemment pas le garçon d'une autre, et ferais mon tour de ménage. Je ne couperais pas la paroles si tu me laisses parler.

Un temps mort dans notre conversation ne signifiais pas ici que nous n'avions plus rien à dire. En fait, je crois bien qu'a ce moment précis de notre rencontre, elle avais commencé à me jauger... Ou alors, simplement, elle essayais de contenir son bouillonnement de rage, pour ne pas avoir, une troisième fois, respecter la règle 1...

A. (hurlant et postillonnant) : Nan mais ho !!! Pour qui tu te prends princesse ? Tu ne veux respecter que les règles qui te font plaisir ?! Tu ne veux pas non plus que je me prosterne à tes pieds et que je te ramène ton souper non plus ? Tu démarre mal avec moi la naine ! Qu'est ce que tu crois ?! Que tu vas pouvoir me défier alors que tu viens à peine d'arriver ?!
*rhaaa, si seulement on ne m'avais pas confisqué mon sabre, je t'aurais donné une bonne leçon*
Très bien, on va régler ça dans un duel...

M. tournant le regard vers le mur : Ne me tentes pas. Girafe.

A. : Qu'est ce que tu viens de dire là ?! Tu dépasses les borne la naine... Et quand on dépasse les bornes, il faut payer les plots cassés...

M. : On dit les pots cassés.

A. : Ah ouais ?! Ben moi je dis les "plots", princesse ! Parce que dans les bornes, il n'y a pas de pots, juste des plots qu'on ne doit pas dépasser. Ma version est plus logique, donc c'est comme ça qu'on doit dire. Tu ne vas pas en plus m'apprendre à causer la naine !

M. : Ne me redis plus "la naine". J'ai un nom... Shin'dou... Si tu avais été plus polie en m'écoutant, tu le saurais la girafe.

A. : Je n'en ai rien à faire de ton nom la naine. Et je ne suis pas une girafe, la naine. Si tu continus, on vas le faire se duel ! La naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine, la naine,.....

M. : Girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe, girafe,....

A. : RHAAAAAA ! Tu l'auras voulue !!! DUEEEEEEELLLLLL

A.& M.(ensemble) Shi-fu-mi ! Shi-fu-mi ! Shi-fu-mi ! Shi-fu-mi ! Shi-fu-m...

C'est à ce moment là que la porte que j'avais pris soin de refermer avant l'annonces de ces règles se réouvris. Une personne observais la scène de ménage entre le deux nouvelles collocatrices que nous étions. Je ne m'en était pas rendue compte immédiatement, mais nous avions surement l'air stupide toute les deux.
C'était une fille avec un bandeau sur un oeil, plutôt grande, élancée. Dans les bras, elle tenais fermement un ours en peluche, visiblement très vieux. Elle connaissait visiblement Azami puisqu'elle lui jetait un regard désapprobateur de son oeil valide. Mais Azami continuait de la fixer, sans perdre son regard furieux avec lequel elle me traitait de "naine". J'ai immédiatement pensée que ça devais être notre autre collocatrice, celle de troisième année... Shizu.
Après avoir longuement réprimandé Azami de son oeil droit, elle se tournais vers moi, le sourire aux lèvres.



Shizu (montrant sa peluche): Salut !!! Voici Shiro. C'est mon ours en peluche borgne. Et moi c'est Shizu, ton autre collocatrice... Tu dois être Shin'dou-kun. Je suis enchantée de faire ta connaissance !

Moi (abandonnant ce stupide duel) : Le plaisir est partagé.

S. : Je suis désolée. Dès que j'ai appris qu'on aurais une nouvelle camarade de chambre, j'ai courue aussi vite que possible pour être la première à t'accueillir. Mais visiblement, Azami t'attendais de pieds ferme. Il ne faut pas lui en vouloir. Elle est comme ça, pas très polie, avec de grosses fesses, mais le coeur sur la main.

Azami (commencant à s'énerver sur Shizu) : Hey toi la borgne !!! Tu veux gouter à mon Zanpakuto ou quoi ?!

S. (tranquillement) : Je te rappel que ton Zanpakuto t'a été confisqué parce que tu voulais te battre contre toute la classe. Ensuite, tu avais dis que tu ne ferais plus fuir les nouvelles avec tes règles...
Elle se retourne vers moi à nouveau : Oui, c'est son grand jeu. Faire fuir toutes les personnes qui rentrent dans cette chambre. Même les plus calmes pètent un plomb. Et c'est d'autant plus facile quand on débarque sans points de repère. La dernière a quitté l'académie au bout de deux heures. Mais je dois surement te féliciter, pour arriver à l'insulter sans t'énerver. Moi, ça fais 3 ans que je la supporte, mais c'est bien parce qu'il Shiro qui me dis des mots gentils...

A. : Mais qu'est ce que tu crois Shizu ?! Tout le monde sais qu'une peluche ne parle pas. Tu es vraiment dingue. Tu le sais ça au moins ?!

S. (qui visiblement perdais son sang froid) : Moi ?! Dingue ?! Tu rigole ou quoi ? C'est toi la folle qui impose à tout le monde le grain que tu as dans la tête !

A. : Han ! C'est vraiment l'hôpital qui se fout de la qualité ! C'est toi la dingue de l'académie !! Alors ne commence pas avec tes sermons, tu serais gentil.

S. : On dit "de la charité". Apprend les expressions correctement, et on pourras en reparler

A. : Quoi ?! Tu veux qu'on se la joue duel aussi ?!

S. : A condition que ce soit un duel au Kidô. Je suis certaine que tu ne l'as pas proposé à Shin'dou ça hein ?! Ca ne m'étonnerais pas, vu tes notes au Kidô, tu serais certaine de perdre, même contre une nouvelle arrivante.

A. : C'est bas... très bas... Vil et mesquin. D'abord, tu ne sais même pas si elle sait utiliser des techniques de Kidô.

S. : Non, mais moi je sais en utiliser, contrairement à certaines...

A. : Peut être, mais si on y vas au sabre, tu es certaine de perdre...

S. (Les yeux remplis de bonheur) : Peut être... Mais Kioshi-san, lui sais mieux que toi... Et puis il est trop beau !!!! Ho, tu crois qu'il me donnera des cours particuliers ?! Ce serais trop beauuuuuuuuuu !

A. : Et ça y est... Tu repars avec tes Kioshi par-ci, Kioshi par-là, kioshi il sent trop bon, Kioshi a remarqué ma nouvelle coiffure,... Arrête de nous bassiner avec Kioshi, tu vois pas que tu saoul Shin'dou ?!

A cet instant, un sifflement aigüe se faisais entendre. Parce que oui, je ne les connaissais pas beaucoup, oui, elles avaient réussie à m'exaspérer, oui, j'avais fini par m'esquiver. Après tout, j'en avais bien besoin, là maintenant, de ce thé.
Et ça tombais plutôt bien, puisque l'eau était chaude. Rien de tel qu'un bon thé pour se ressourcer et parler calmement de choses et d'autres. Azami et Shizu avaient l'air de plutôt bien s'entendre malgré leurs chamaille, et c'est d'ailleurs comme ça que j'ai fini par comprendre que c'était "la bienvenue à la sauce Azami". Alors c'était à moi de leurs retourner la politesse, et de les remercier à ma façon.
J'ouvris les bras, faisant signe de s'assoir avec moi autour de la table, et posais trois tasses que j'avais fini par trouver, dans le placard en haut de l'évier. Une fois le service fait, je m'asseyais également, en finissant par demander qui était "Kioshi".

Apparemment, Kioshi était en cinquième année ici, mais surtout sur le point d'avoir son diplôme. D'après ce que mes nouvelles amies m'ont dit, c'est qu'on lui avait demandé d'aider les premières années au Kendo, ou du moins ceux qui désiraient de l'aide. Mais ce n'était visiblement pas pour plaire à Shizu, qui avait le béguin pour lui, mais qui était arrivée 2 ans trop tôt pour profiter d'un cours particulier. Azami, elle, feignais l'indifférence, mais visiblement, elle tentait de monter des coups sournois pour que Kioshi et Shizu soit seuls dans la même pièce. "Pour qu'elle arrête de me faire chier" disait-elle. Et puis elles finirent par le comparer aux autres garçons, puis se moquer des autres garçons. Et à la fin de la théière, on finissais de se raconter nos vies.

Un bien beau souvenir cette année à l'académie.
Vraiment.

Les cours avaient commencé. Je m'y suis sentie de suite comme chez moi. Les gens avaient du respect les uns pour les autres. Bien sur, ce n'est jamais le cas pour tout le monde. Mais globalement, ma classe était très bien, les profs avaient vraiment le don pour nous rendre la chose intéressante. Alors on se défiaient entre nous.
Qui en mettraient 3 dans le mille au Kidô ?
Qui dépasserait le sensei au Hohou ?
Au Hohou, qui est en fait le moyen pour se déplacer plus vite, j'était la première. Mais les cours sont quand même difficiles et beaucoup de mes camarades sont largement en avance comparer à moi. Mais peu importait puisque Azami-chan et Shizu-chan m'aidait à progresser. Elle disaient de moi, pendant que je ne suis pas là, que j'ai de bonnes aptitudes. Mais ça me paraissait bizarre que moi, alors que je n'ai pas de très bonne note malgré mon entrainement avec papa de mon vivant, puisse avoir de "bonne aptitudes".

Il y a cette fille dans ma classe d'ailleurs... Iku. Elle est très forte. Elle se déplace vite, bonne au corps à corps, mais aussi au Kidô et au kendo. C'est simple, c'est la première de la classe. C'est vrai que je ne l'aimais pas beaucoup. Elle était hautaine avec nous tous. Sauf avec le fameux Kioshi, l'amour transi de Shizu. Ce qui d'ailleurs la mettait hors d'elle tous les soirs. Et tous les soirs elle nous racontait, autour d'une tasse de thé, comme nous avions prisent l'habitude de faire, où elle avait vue Iku qui plaisantais avec Kioshi. Et lui, d'après elle, avais en plus le culot de rire à ses blagues.

Les choses s'empiraient de jours en jours à cause d'Iku. L'ambiance de la classe, mais aussi de la collocation. Mais ce jours-là, c'est moi qui avais entendu quelque chose. Quelque chose qu'il ne fallait surtout pas révélé rentré dans la chambre. Iku demandera ce soir à Kioshi des cours particuliers. Et pourtant, elle n'avais pas besoin de soutient. Mais elle savait que ça en embêterais plus d'une, et que dans le lot, il y avais bien entendu Shizu, qu'elle narguais a chaque fois qu'elle le pouvait. Je ne savais pas pourquoi.



Azami (se tournant vers moi) : Ah Princesse ! Tu arrive à temps, l'eau commence à frémir. Je te laisse mettre les feuilles de thé pendant que je vais chercher les tasses... Et puis on se raconteras les potins du jours...

Moi (baissant la tête): Je n'ai pas très envie de discuter aujourd'hui Azam...

A. (perdant son sang froid, pour changer.) : Mais qu'est ce que c'est que cette fantaisie encore... C'est la tradition, la règle 5. C'est comme ça. On se rassemble toute ensemble autour du thé, et on dit du mal des autres. Pas de dérogation possible à cette règle.

M. : Non, vraiment Azami... Pas ce soir.

A. (qui retrouve son calme, puis commence à avoir un air interrogateur) : Qu'est ce qui ce passe.

M. : Mmmh. Je suppose que je peux te le dire à toi... Mais Shiz...

Shizu (poussant la porte comme une furie) : Rhaaaaaaa !!! Shin'dou, Azami, vous savez ce qui ce passe ?! Kioshi va....

M. : Oui je sais mais il ne faut pas lui en vouloir... C'est elle qui le manipule...

S. (tentant de deviner ma penser en me regardant fixement) : Qu'est-ce que tu racontes ? Quelqu'un le manipule pour qu'il passe son diplôme plus tôt ?!

A. : Bon, vous êtes mignonnes les dingues, mais les ragots, c'est avec le thé, près de la table, sinon, on se dessèche. Tout est prêt installez vous...
Ah et Shin'dou... Profite en pour nous dire ce qui ce passe aujourd'hui, tu es bizarre.

Moi ( les yeux baissés) : Je ne sais pas si je dois…

Azami : On s’en fout bien de savoir si tu dois ou pas. Tu nous le dis. C’est simple. Si ça te concerne, ça nous concerne. Si ça nous concerne, tu le dis. Si ça ne nous concerne pas, ce sont des ragots, et c’est ce qui doit être dit autour de cette table. C’est pourtant clair non ?

M. : Oui très clair.

A. : Alors assieds toi et raconte

M.(En m’asseyant) : voilà. J’ai entendue dire par hasard que Iku devais prendre des cours particulier avec Kioshi.

Shizu( L’oeil étonné) : Et c’est tout ?

M. : Comment ça c’est tout ?! Tu n’es pas furieuse ?!

S : Bien sur que non. C’est bien son genre, me faire chier. Et je le connais bien mon Kioshi-kun d’amour. Il ne tombera pas dans son piège. C’est bien trop grossier et il est bien trop malin. D’autant plus qu’il va bientôt passer son diplôme. Donc ça lui laisse trop peu de temps pour trouver autre chose.
M’enfin bon, l’inconvénient reste que je ne le verrais plus non plus. Donc il me reste à l’obtenir rapidement pour le rejoindre. Dans une division.
Mais là, dilemme. Je ne peux pas vous abandonner à vos bêtises…

A. : Ouais. Mais en même temps, ton Kioshi d’amouououour là. Ce n’est pas comme si il te connaissait. Tu n’as jamais pu lui parler. Dès que tu te retrouve devant lui, tu te mets à serrer ta stupide peluche contre toi, à devenir rouge écarlate, et à ne plus savoir prononcer un mot.

S (commençant à crier sur Azami) : Rhââââââââ !!! Tu ne traites pas mon Shiro de peluche stupide la girafe !! Il est sensible !

A.(sur le même ton) : Retraite-moi de girafe pour voir ?! Tu veux gouter mon Zanpakuto ?!

S : Ton Zanpakuto ?! Laisse-moi rire. A peine on te l’a remis, que tu commence à provoquer en duel le prof. Pas étonnant qu’on te le re-confisque ! Alors, tu compte m’attaquer comment cette fois ?! Hein ?! A coup de Shi-Fu-Mi ?!

Oui, j’ai eu peur de leurs dire ce que je savais, mais je n’aurais pas due. Shizu à la tête sur les épaules, malgré les propos d’Azami sur son côté « dingue ». Mais je n’aurais pas due m’inquiéter pour si peu, surtout que les choses reprenaient leurs cours normal. Des disputes, des ragots,… Enfin, c’est comme ça que les choses auraient dut se faire. Mais le destin, incarné à ce moment là par Iku, fit son apparition, coulissant la porte derrière nous.



S : Iku. Qu’est-ce que tu fais là. On ne t’a jamais autorisé à rentrer. Pars et retourne d’où tu viens.

Iku (le sourire aux lèvre de celle qui s’attendait à une réaction comme celle là.) : Shizu… Quel accueil !!! Et moi qui pensais te sauver…

S : Toi, Me sauver ?! Ne me fais pas rire pendant que je bois mon thé veux tu ?! Qu’est-ce qui a bien pu passer dans ta cervelle où le néant est roi pour te donner l’idée que je dois être sauvé. Et par toi qui plus est.

I. : Tout simplement, j’ai entendue des cris, et j’ai reconnue ta voix. Il ne faudrait pas qu’une étudiante se fasse agresser… Surtout que l’entrainement de Kioshi-kun porte ses fruits. Il faut dire qu’on comprend tellement mieux quand il murmure des conseils à l’oreille…

S (La tasse dans la bouche) Pétasse.

I. (Feignant la surdité ?!) : Comment ?
Ah, pendant que j’y pense… J’ai appris que Kioshi-kun allais voir son examen avancé au vue de ses excellentes aptitudes. Donc il m’a promis qu’il viendrait me voir quand il sera rentré dans une division pour m’entrainer un peu. C’est gentil non ?!
Alors comme toi tu ne le verras plus, je me suis dis que tu voudrais ça.

Iku fouille dans ses poches et lance sur la table un bout de papier. Mais ce n’était pas un simple bout de papier au vue de la tête de shizu. Elle commençait à chiffonner le fameux papier, et se levais furieuse. C’était la première fois que je la voyais dans un état pareille.

S : Comme tu as eu ça ? Répond moi.

I.(heureuse d’avoir fait mouche) : Ben par Kioshi-kun ! Bien entendue, j’en ai encore, ne t’inquiète pas pour ça. Bon après certaines ne sont pas à mettre entre toutes les mains, hein.

S (bouillonnant de rage) : Je vais t’arracher ta langue de vipère

I. : Ouh, mon dieu, tu me fais peur ! Je te déconseille toutefois de me toucher. Je suis bien plus rapide que toi, et tu risque de t’en mordre les doigts.

A.(se levant pour défendre sa camarade) : Aussi rapide sois tu, tu ne pourras pas t’en sortir sans dommages à 3 contre une. Je te conseille de t’excuser immédiatement.

I.(Le sourire grandissant) : Azami c’est ça ?! La fameuse Azami qui se fait confisquer son katana à la moindre occasion. D’ailleurs je ne vois pas ton Zanpakuto. Ne me dis pas qu’on te l’a encore pris… Surtout que d’après ce que j’ai compris, sans ton arme, tu es incapable de te battre.
Et la troisième personne, c’est qui ?!
Ho mais attend… Je te connais non ?! Tu es dans ma classe ?! Suhichi… Non ce n’est pas ça… Shin’dou ! C’est ça oui, Shin’dou, la plus rapide de la classe. Enfin, c’est bien parce que je ne montre pas mon shunpo… Et bien, et bien, et bien…. Avec cette équipe de vainqueurs, on dirait bien que j’aurais du mal à partir d’ici sans dommage…

C’était une énième provocation. Une provocation comme celles qu’elle nous balançait régulièrement. A nous comme aux autres d’ailleurs. Mais c’était aussi la provocation de trop. Celle qui faisait déborder notre vase de patience. Elle avait tout prévue, et on ne pouvait plus faire machine arrière. Elle connaissait nos points forts et nos points faibles. Mais nous aussi, et il y avait 2 troisième années avec moi, qui avait donc plus d’expérience qu’elle. Notre stratégie fut rapidement mise en place. Azami nous faisais des gestes que nous comprenions facilement. Shizu à la porte. Elle bloquait la sortie. La seule d’ailleurs, puisque si Iku démolissait un mur, c’est que la provocation était évidente, et elle serait suspendue. D’un Shunpo, Shizu s’était placée. Mois, je couvrais les arrières l’Azami. Je suis rapide, notre ennemie est fourbe. Il n’était pas du tout improbable qu’elle avait réfléchie sa manière de s’enfuir ou de se battre, et comment nous réagirions. Azami elle, ferais front. Bien qu’elle n’ait pas de Katana sur elle et que nous nous moquions d’elle et de sa dépendance au Zanpakuto, elle savait bien se battre à main nue. Et elle était solide.
Stratégie simple, mais efficace. En fait, elle a surtout été inefficace. Nous avions sous-estimée l’adversaire.
Iku fit un signe dans l’air et dit : « technique d’immobilisation numéro 1 : sai ». Nous étions toute très surprise qu’elle puisse utiliser un Kidô sans prononcer la formule. Même s’il s’agissait d’une technique faible. Iku le savais, mais elle avait réussie à entraver Azami grâce à l’effet de surprise. Même si Azami se libérais, il lui faudrait un certains temps. Le temps d’ailleurs qu’il a fallu à l’ennemie de faire un Shunpo vers Shizu, encore ayant ainsi passé derrière elle, et donc, franchir la porte.
Azami s’est alors libéré. Facilement. Mais le regard de Shizu semblait choqué. Elle ne comprenait pas ce qu’il s’était passé, mais ce n’était pas tout… Je n’avais pas de suite remarqué que Shiro, son ours en peluche, n’était plus dans ses bras. Il était dans les bras de notre adversaire. Elle avait désormais un otage, voilà ce qu’était son plan d’évasion depuis le début.

Iku (mettant sa main sur la tête de la pauvre peluche) : Ne bougez pas, où mon kidô risque de partir sans le vouloir. Et malheureusement, il y a ce truc dans mes bras. Il risquerait d’être abimé.

Shizu(se retournant) : Ne fais pas ça. S’il te plaît. Non, ne fais pas ça, si tu as un cœur…

I. (reculant doucement, pour ne pas être suivie ou attaquer) : Ne t’inquiète pas… Je ne risque pas de dire « technique de destruction numéro 4, byakurai.»
Oups !

Elle l’avait fais. Elle souriait en s’éclipsant rapidement. Elle avait détruit l’ours en peluche de Shizu, qui restait, figé, sur le pas de la porte, empêchant bien malgré elle Azami se mettre à la poursuite d’Iku-cœur-de-pierre.
Shizu se dirigeais lentement vers son ours favori, désemparé, ne croyant toujours pas ce qu’il c’était passé. Elle s’agenouillait et regardais le trou béant dans la tête de Shiro. On pourvais voir les rayures du parquet du couloir à travers sa tête. Du rembourrage blanc nous tombais encore dessus, comme des flocons de neige qui nous recouvrait d’un drapeau blanc. Pourtant, c’était le drapeau noir qui s’élevait dans nous cœur, et qui transparaissait dans les larmes de Shizu. Ces larmes douce/amer, mélange de tristesse et de rage.

Azami posais sa main sur l’épaule de Shizu, pour la réconforté, mais scrutait dans la direction qu’avais pris le ravisseur, comme si il y avait encore une chance qu’il reviendrait, dans le style « Ah oui, j’ai oublié de vous dire… J’ai fais exprès !!! ». Mais sa réflexion était bien plus profonde que ça. Elle savais déjà comme ça allait finir.

Azami : Shizu ?

Shizu : Qu…Quoi…

A. : Tu sais faire de la couture ?!

S : Si c’est pour recoudre Shiro, ce n’est pas la peine. Le trou est trop gros et….

A. : Non, j’ai une meilleurs idée…
Shin’dou, prend du papier et des crayons… Tu as bien fais de la calligraphie ?! Je te dirais quoi faire.

Pendant ce temps, je dépliait avec délicatesse le bout de papier qui avait « provoqué » tout ça. Et c’était une photo. Une photo de Kioshi.

Moi : Je ne comprend toujours pas comment vous m’avez entrainez là…

Azami (sur un ton agacé) : Tu voulais qu’on t’entraine un peu ?! Alors prend ça comme une mission.

M. : Oui mais pourquoi on fait ça maintenant… Ont auraient pu faire ça le soir même ou le lendemain !

Shizu : Non. Elle aurait été sur ses gardes, et elle est quand même maligne cette langue de vipère. Là, elle commence à baisser sa garde, mais il faut qu’elle sache insidieusement que ça viens de notre part.

M. : Pourquoi pas. Mais alors pourquoi cette « carte de visite » ?!

S. : Pour enfoncer le clou et qu’elle n’oublie pas ce qu’elle nous a fait.

M. : Ok. Ça tient la route. Mais pourquoi ces costumes ridicules ?

A. : Tu tiens vraiment à te faire chopper et te faire virer ?! Moi pas. Alors au moins, comme ça, on ne saura pas que c’est nous si nous sommes repérés au coin d’une rue…

M. : Ouais mais enfin… Une cape rouge…des collants noirs, des gantelets et un casque de Kendo… C’est un peu trop. Et si nous avons peur de nous faire repérer… Pourquoi faire savoir que c’est nous à Iku… Ce n’est pas dangereux ?

S. : Non. Ca n’est pas dangereux si elle ne veut pas se faire virer après nous avoir agressées comme elle l’a fait la semaine dernière. Et puis arrête avec tes questions. Nous en avons déjà parlé, et juste au dessus de sa chambre, on ne peut plus faire marche arrière.

A. : Ouais ça suffit maintenant de nous pomper l’air. Bon, les filles, ont récapitule. Tout le monde c’est ce qu’il a à faire ?!

C’était une nuit fraiche. Il était tard, et seul 2/3 gardes circulaient dans l’académie, histoire de prendre sur le fait les étudiants qui faisaient le mur pour aller boire du saké en douce. Nous, nous étions partie nous venger. Nous avions même mis au point des noms de code, pour ne pas que nos prénoms soient prononcé. J’étais « Shadows », Azami-chan était « Fists » et Shizu-chan « Bear ». Nous avions bien hésité à nous appeler respectivement « naine », « girafe » et « n’a-qu-un-œil-la-sorcière », Mais le pseudonyme de Shizu-chan était trop long a crier, et les autres ne faisaient pas assez peur pour Azami-chan.

Ensuite, nous avion élaboré un plan. Premièrement, je devais récolter des informations sur Iku. Où elle vivait, avec qui,… Et l’observer pour savoir où frapper. Où frapper était assez délicat pour ce décidé. Ont voulaient frapper fort, mais ont ne pouvaient pas la blesser sans représailles de l’académie qui aurais été gênante. Où elle habitait, je l’ai suivie, simplement. Personne ne me remarque, et quand on est aussi pédante qu’Iku, voir quelque chose d’autre que soit même est assez délicat. Dernier point de la première phase, en ce qui me concernait, Avec qui elle vivait. Et là, elle nous avait beaucoup facilité les choses, puisque sa famille etait assez riche visiblement, et elle obtenait ce qu’elle voulait. Et elle ne voulait pas s’embarrasser d’un autre colocataire.

Shizu, elle, s’occupait de nous faire passer inaperçue lors de l’attaque. Elle avait pris des casque dans la salle de Kendo, et avais fini par trouver du tissu pour nos vêtements. Elle n’avait pas chômée, mais il faut dire qu’elle ruminait encore ce qu’il s’était passé. Pourtant, ce n’était peut être pas la plus motivée d’entre nous.

Azami. Elle, elle s’était donné comme mission de s’entrainer sans Zanpakuto et de définir une stratégie. C’était pour ainsi dire la tête pensante du groupe, puisque c’était son idée. Une fois que j’avais su où habitait Iku, elle a commencée à fouiner le coin, à chercher des entrées, des sorties, des sorties de secours, à regarder où Iku rangeais ses affaires,ect,…
On peut dire que ce jours-là, tout était organisé à la minute près.

Quand la cloche de l’horloge sonnais, ça signifiais qu’il faillait commencer l’opération.

*DONG*

A deux heures moins le quart du matin, c’était partie. Iku était couchée depuis un petit moment maintenant et devais commencer à ronfler. Les gardes changent leurs tours. Azami devait prendre la tête du cortège. Son boulot, c’était d’écarter tous dangers. En plus, sans zanpakuto, elle ne risquait pas de cogner quelque chose par maladresse. Moi, j’étais celle qui surveillait les arrières. Au moindre bruit suspect, je devais me réfugier en hauteur le plus proche du bruit possible et observer le danger. En cas de danger imminent, j’avais un signal à donné. Shizu était la personne la plus importante du groupe d’intervention. Elle devait s’occuper de « l’échange ». Ses gestes devaient être coordonnées à l’horloge. Au premier coup, elle devait ouvrir un tiroir grinçant. Au second, le refermer. Non, ce n’est pas parce que le tiroir était grinçant qu’il fallait utiliser le bruit des cloches. C’était parce qu’il fallait utiliser le Kidô et donc prononcer la formule sans réveiller Iku. Iku était vraiment méfiante et avais sécurisé toute sa maison. Mais Azami avait eu cette idée ingénieuse. Par contre, je ne sais toujours pas comme elle lui a traversé l'esprit.

D’ailleurs, son premier piège, c’était des bouts de verres sur le sol. Mais Azami les avaient vus pendant ses repérages. Nous les avons évités aisément en les contournant et en longeant le mur. Il n’y en avait pas à cet endroit. Tout ce qu’il y avait, c’était un placard à gauche. Un de ces placards encastrés dans le mur. Mais parfois, il suffit d’un fil.
Et Azami le coupa...

C’était un fil qui tenait un placard fermé avec un punching bol en équilibre. Le punching ball dévalait alors sur Azami, qui n’avait à ce moment là qu’un seul choix. Elle avait utilisé son corps pour amortir la chute du punching ball. A ce moment là, j’étais loin de regretter la cape rouge qui avait évité Azami d’être couverte de tessons de verre. Elle faisait signe, tout en serrant les dents, de se mettre en position, près de la commode. Iku était juste à côté, dormant comme un bébé, l’esprit léger, malgré le mal qu’elle faisait aux autres. Et je crois d’ailleurs que Shizu, en la regardant, espérais qu’elle fasse des cauchemars. Mais il ne restait que 2 minutes avant la vengeance.

A ce moment là, j’ai entendue du bruit à l’extérieur. Mais il y avait les tessons de verres qu’il fallait contourner, et j’aurais été trop longue à sortir. J’ai pris appuie sur le punching ball, lui-même sur Azami pour sortir et me réfugier sur la cime du cerisier du jardin. Visiblement, c’était des étudiants ivres. D’ailleurs, un garde se dirigeait près d’eux.

C’était bon, pas trop de risque pour nous. Je continuais à scruter. Quelques instants plus tard, je vis trois personnes, approchant de la maison sans faire de bruits. Mais ils n’avaient pas d’uniforme de garde. Ce qui était étrange, c’est qu’ils semblaient savoir que nous étions là, alors que j’étais persuadée, en arrivant, que nous n’avions pas été suivies.

Peut importe de toute façon, c’est un danger pour nous. Combien de temps restait-il ? 30 secondes. C’était trop bête d’arrêter là, mais nous n’avions pas le choix.

*DONG*

C’était la première cloche. Si tout ce passait bien à l’intérieur, le tiroir était ouvert. Mais les gardes allaient passer la porte. Elles allaient être prises la main dans le sac, et là, pas d’échappatoire. Réagir. Vite.
C’est là que j’ai bondie devant les gardes, visiblement, des gardes privés, et me suis mise à dire

Moi (levant un bras vers le ciel, posant l’autre main sur ma hanche) : Ahahah !!! Vils soldats ! Traitres à la solde de l’ennemie… Je suis Tsuki-shadow. Allez vous en, ou je deviendrais votre ombre pour le restant de vos jours. Je connaitrais tous vos petits secrets, et vous ne pourrez plus jamais être à l’abri !!!

Je n’avais pas eu besoin du pouffement de rire des gardes pour savoir que j’avais l’air ridicule. Mais plus je parlais avec des grands mots sans même en comprendre la signification, avec cette cape ridicule et tape-à-l’œil qui flottait derrière moi, plus je gagnais du temps, les gardes étant comme -parce que c’est loin d’être le mot juste- « hypnotisés ». Là-dessus, j’entends Iku appelant les gardes et Azami et Shizu sortir en courant… Shizu sort notre carte de visite et l’écrase sur le nez d’Iku, qui les empêchait de passer.
On l’avait échappé belle. Shizu et Azami m’avais chacune pris un bras, et m’avais emporté loin du danger, grâce à des shunpos bien coordonnées. Une fois suffisamment loin de tous risques, ont commençait à faire le point.

Shizu (rigolant) : Qu’est ce que tu nous a fait là ?! Tu comptais monter un cirque ?

Azami (grognant) :Ouais, je serais curieuse de savoir ce que tu nous à fait. Ton code, pour l’alerte, c’était « Sepuku ». Pourquoi tu as fais ça.

Moi : Pour gagner du temps. Ont étaient pas loin de finir l’opération, mais pour la mener à son terme, il fallait occuper les gardes privés.

S. : Oui, bien joué. Elle nous a tendue un piège, elle savait qu’on viendrait. Mais j’ai réussie à faire l’échange sans qu’elle s’en aperçoive.

A. : On verra ce que ça donnera demain…

Et effectivement, on a remplie notre mission, voir même plus. Iku n’est pas venue en cours le lendemain. La rumeur disais que sa crème de beauté dont elle ventait les mérites partout avais finis par lui donner des boutons. Tellement de boutons que personne ne voulais approcher de chez elle. Quand elle est revenue en cours, une semaine plus tard, tout le monde rigolais en la voyant. On avait frappé fort. Très fort. Et pile dans son orgueil.

Elle savait avant qu’on viendrait. Elle se doutait que ce serait nous. Mais norte carte de visite confirmais ses doutes, et les rumeurs allaient de bon train.

Et Iku n’a pas été notre seule victoire. Dans l’académie, on parlait de ces « merveilleuses mais sans goûts tsuki girlz » avec leurs capes rouge aveuglante. On finissait même par prêter des pouvoir surnaturelles au groupe à tel point qu’Azami ai voulue continuer l’aventure « tsuki girlz » en édicant des règles, dont la règle numéro 1 était « On ne parle pas du Tsuki-club ». Je ne sais toujours pas où elle va trouver toutes ses idées… Elle m’étonne d’ailleurs encore.

C’est comme ça que j’étais devenue leurs oreilles, et que je savais qui avais besoin d’être venger, et qui aurais besoin d’être corrigé. C'est aussi comme ça que notre chambre a fini avec tout un tas de ces images.

Vraiment, l’académie, c’était le bon temps.

J'ai adoré lire ça, très bon rp. Pour la peine je décide a l'unanimité de t'attribuer un bonus de réiatsu, +10 o/